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Cent ans et plus de bande dessinée

(en vers et en poèmes)

Domaine(s) :
Genre(s) :
ISBN : 978-2-87449-031-6
Format : 14.8 x 21 cm
Pagination : 80 pages
Prix : 10€
Parution : mai 2007

Ce livre décrit en quelque soixante poèmes toute l’histoire de la bande dessinée, de Rodolphe Töpffer, qui inventa le genre dans sa forme contemporaine, à Aurélia Aurita, auteure de Fraise et chocolat, en passant par tous les grands auteurs américains et européens qui ont « fait » la bande dessinée et qui lui ont permis de devenir un des arts les plus vivants d’aujourd’hui.

Les poèmes, toutefois, ne sont pas de simples descriptions des bandes dessinées ou de leurs auteurs, mais tentent à chaque fois de saisir ce qu’une œuvre a de plus spécifique, et de rattacher cette « griffe » à une expérience de lecture qui ajoute aux dessins des perspectives inédites et imprévues. En ce sens, les poèmes se veulent à la fois une anthologie de la bande dessinée, mais faite à l’aide de mots seulement, et une encyclopédie de tout ce qu’on pourrait dire, écrire et penser sur elle.

ActuaBD

« La bande dessinée, à quoi ça rime ? Non, ce n’est pas le sujet de la prochaine université d’été d’Angoulême organisée par le CNBDI, mais cela aurait pu être le titre d’un recueil de poèmes, Cent ans et plus de bandes dessinées, dont l’auteur est l’historien et spécialiste de la bande dessinée Jan Baetens, un volume publié par les Impressions Nouvelles. »

Didier Pasamonik, ActuaBD, 18 mai 2007

Lire l’article complet sur le site de ActuaBD

ToutenBD.com

« Cent ans et plus de bande dessinée (en vers et en poèmes) n’est pas un ouvrage didactique sur le 9e Art. Édité ce mois-ci aux Impressions Nouvelles (10 euros), l’ouvrage est en fait un recueil de… poèmes : soixante poèmes, écrits par Jan Batens, qui décrivent l’histoire de la bande dessinée, de Töpffer à Aurélia Aurita. Ils parlent également de Baudoin, Giraud, Hergé, McCay, Pratt, Schuiten, Tardi, Ware, etc. »

ToutenBD.com, 21 mai 2007

Lire l’article complet sur le site ToutenBD.com

Métro

« [Ces poèmes] passent du génial à l’incompréhensible, mais quoi qu’il en soit, il est à saluer que le 9e Art inspire un poète loin d’être le dernier venu. »

Métro, 8 juin 2007

Le Nouvel Observateur

« Dans l’étonnant et inédit recueil du Flamand Jan Baetens, Cent ans et plus de bande dessinée (en vers et en poèmes), le poète consacre à une cinquantaine d’auteurs – de Winsor McCay à Spiegelman, Pratt, Loustal et Paringaux, David B – des odes très personnelles. Qu’on en connaisse ou pas les récipiendaires, ces poèmes sont joliment ciselés. »

Laure Garcia, Le Nouvel Observateur, 14 juin 2007

Le Carnet et les Instants

« Baetens, qui comme dans ses livres précédents fixe les contours de son objet avec humour et précision, semble nous dire que la poésie peut faire son miel de tout pourvu que l’on y mette les formes (un sonnet pour E.P. Jacobs, un dialogue autour de Schultz, une saynète pour Régis Franc, une démonstration pour Trondheim). On referme ce florilège avec une pressante envie de relire certains albums et d’en découvrir d’autres. »

Quentin Louis, Le Carnet et les Instants n° 148, octobre-novembre 2007

Lire l’article complet sur le site de la Promotion des Lettres

Cahier critique de poésie

« Quand un homme d’aussi prodigue culture littéraire et d’aussi vive acuité sémiotiques se lance dans cet exercice probatoire de fondre en vers l’impact en lui d’une ouvre de narration iconique, puisant dans son musée intime les gestes de quelques traceurs élus, ceux qui connaissent et ne vomissent pas d’un nouveau dédain se régalent, les autres clignent des yeux n’y croyant pas. Guy Debord et Winsor McCay en sortent fulgurants, d’autres drôlatiques. Et même si en dépit de nos plus vives exhortations l’Asie n’apparaît pas, fut-ce en un court haïku, chacun des Caractères vaut suffrage: on se presse à savoir qui sont les encore inconnus ; parce qu’on n’oublie plus que le neuvième art est peut-être le dernier où vit une pas trop patraque avant-garde : entendez artisanale et diverticulée. Et qu’un poème en sorte de s’y être risqué, qui plus est à puissance universitaire, voilà qui l’estampille d’un égard vrai d’homme. »

N. Aksayam, Cahier critique de poésie n° 15, 2008

La Revue Nouvelle

« Rapidement, le lecteur mesure l’ampleur étonnante de la gageure que se propose Baetens car, plus que de poèmes sur la bande dessinée et son imaginaire, il s’agit davantage de dire l’expérience de la lecture d’auteurs divers dans leur singularité propre. Rencontre entre deux auteurs, chacun de ces poèmes constitue aussi le résultat du dialogue des deux structures sémiotiques en jeu. Pour rendre l’unicité de chaque auteur retenu, de chaque rencontre de lecture, Baetens s’appuie au mieux sur les ressources offertes par le dispositif scriptural : la signification s’élabore non seulement par le poids des mots et de leur apport sémantique mais aussi, mais autant, par la rythmique de la composition et de la disposition. »

Philippe Sohet, La Revue Nouvelle n° 1, janvier 2008

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