Le Monde
« Pour envisager son époque et libérer son regard englué dans le flux des événements, Luc Dellisse choisit un dispositif original […], celui du roman de très légère anticipation, aux allures de conte philosophique. […] Installé dans une époque nouvelle, il regarde et relit les signes qui pouvaient l’annoncer. »
Florence Bouchy, Le Monde, 24 août 2012
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Webradio Espace Livres (Demandez le programme)
Edmond Morrel interviewe Luc Dellisse à propos de son roman de très légère anticipation 2013 Année-terminus, le 8 septembre 2012.
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France Inter (La librairie francophone)
Émmanuel Khérad interroge l’auteur autour de son dernier ouvrage sur les ondes de France Inter, le 15 septembre 2012.
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Senscritique.com
« Parvenant à trouver un ton bien particulier, tout en lucidité informée (les passages économiques sont souvent d’une qualité et d’une drôlerie dignes du meilleur Lordon, bien qu’issus d’une perspective sensiblement différente) et en pragmatisme gentiment égoïste de – déjà – survivant, Luc Dellisse nous propose ainsi, sous couvert d’anticipation socio-économique, une forme subtile d'”apocalypse joyeuse”, où la mélancolie, la résignation et le vouloir-vivre “au mieux” s’associent dans une bizarre sarabande que, là aussi dans une perspective bien différente, ne renieraient sans doute pas le Jérôme Leroy des anticipations socio-politiques nourries au fantôme de “communisme balnéaire”, voire le Norman Spinrad du Il est parmi nous… À mi-chemin entre l’analyse économique réaliste et une forme désenchantée de romantisme contemporain, une lecture bien attachante. »
Librairie Charybde, Senscritique.com, 18 septembre 2012
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Le Carnet et les Instants
« Luc Dellisse, que l’on connaît comme romancier, s’affirme ici comme un observateur critique des crises qui traversent le monde actuel. […] Dellisse fait merveille dans cet exercice qu’il mène avec maîtrise, déployant ses talents de conteur d’une plume élégante et vive, optant pour un récit serré. Il convie le présent et la fiction dans un va-et-vient subtil qui rappelle à point nommé qu’un écrivain est tout à la fois ici et ailleurs et qu’il écrit plus loin que l’horizon. »
Thierry Detienne, Le Carnet et les Instants n° 173, octobre-novembre 2012
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La Revue Nouvelle
« […] Du fait de la vivacité de cette langue, de la qualité d’invention qui nourrit le récit, de la puissance des images que sa lecture fait surgir à l’esprit, le livre se lit sans faire de pause, dans une espèce d’excitation. Il n’a toutefois pas pour seule vertu de nous faire passer quelques heures agréables. À défaut de nous aider à comprendre les origines et les mécanismes de la crise, ou de formuler une recette pour la combattre que la littérature n’a pas vocation à fournir, 2013 Année-terminus illustre avec éclat l’impact qu’elle peut exercer sur notre vision du monde, qui fait partie de sa réalité. »
Michel André, La Revue Nouvelle, novembre 2012
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Le blog de Danactu-résistance
« […] Ce bref roman surprenant n’est pas prophétique, juste une proposition littéraire subtile qui se lit d’une traite et qui nous permet une réflexion sur ce qui pourrait arriver… ou aurait pu arriver. Mais l’objectif littéraire est atteint et c’est le principal. Un plaisir de lecture. »
Daniel Lebordais, Le blog de Danactu-résistance, 5 novembre 2012
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Espace Livres
« Si l’on devait, par exemple, dans les lettres belges de langue française, définir ce qui est appelé à surnager de ce que les écrivains de nos contrées ont publié au cours des douze derniers mois, une sélection de cinq ouvrages émergerait de façon assez spontanée, semble-t-il. Un titre s’imposerait de manière presque ironique, puisqu’il porte le millésime de l’année qui vient, c’est 2013 de Luc Dellisse. Il ne s’agit évidemment pas d’un roman de science-fiction, puisqu’il porte sur un avenir qui est littéralement à nos portes. Il est, néanmoins, comme une prophétie apocalyptique à bout touchant, en quelque sorte. Nous avons tous l’impression que l’Histoire a pris le mors aux dents. Chaque jour nous apporte une nouvelle qui contient une dose massive de nocivité fatale. Si nous ne le mesurons pas, c’est que les médias, médusés eux-mêmes, les coulent dans les moules standardisés de ses formats spatiaux et temporels, et que les commentateurs sont eux-mêmes sidérés, qui n’ont plus à informer qu’à la manière dont les musiciens du Titanic jouèrent, paraît-il, jusqu’au moment où ils furent noyés. Dellisse, l’un de nos écrivains les plus intelligents écrit ainsi au bord du gouffre. »
Jacques De Decker, Espace Livres, 13 novembre 2012
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Service littéraire
« Texte imparable d’un Belge qui a la frite. C’est presque la société du spectacle. Moitié réel, moitié SF, 2013 Année-terminus dégage les bronches. Roboratif. »
Bernard Morlino, Service littéraire, février 2013
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Le Carnet et les Instants
Michel André dresse un beau portrait de Luc Dellisse en s’attardant sur son œuvre et sa personnalité, février-mars 2013.
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