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Barbarella

Une Space Oddity

Domaine(s) :
ISBN : 978-2-87449-737-7
Format : 13 x 19 cm
Pagination : 128 pages
Prix : 12€
Parution : janvier 2020

Être Barbarella, c’est d’abord et avant tout être une femme. Une femme libre et indépendante, émancipée et aventurière, séduisante et fascinante, pleinement inscrite au cœur des mouvements des plus avant-gardistes de son époque, les sixties. Dessinée par Jean-Claude Forest dès 1962 à partir de la plastique, elle-même révolutionnaire de Brigitte Bardot, incarnée au cinéma, de manière immédiatement légendaire, par Jane Fonda pour la caméra de Roger Vadim en 1968, Barbarella brise les tabous comme les images stéréotypées de pin-up de la bande dessinée et du cinéma. Fille de l’espace, elle est aussi une fille de son temps, qui traverse à toute vitesse les galaxies et les récits les plus fantasques de la science-fiction comme les problématiques des plus cruciales de la fin du XXe siècle : l’éthique et l’érotique, la liberté des corps et des esprits, l’antispécisme et le transhumanisme, l’urgence écologique et la critique des modes de gouvernance. Ambassadrice de la paix, Barbarella fait l’amour plutôt que la guerre : sa conquête spatiale est celle du plaisir, son odyssée, sauvage et impromptue, ouvre le champ de tous nos possibles.

RTBF – Entrez sans frappez

Véronique Bergen est au micro de Jérôme Colin le mercredi 29 janvier 2020 pour parler de la figure de Barbarella, personnage de Jean-Claude Forest, connu au cinéma pour son incarnation par Jane Fonda.

ecouter l’émission sur le site auvio

Focus Vif

« Pour Bergen Barbarella est celle qui incarne la liberté, ouvrant de la sorte un espace aux possibilités infinies. A travers ses aventures de space opéra sexy et déluré,  elle va même jusqu’à défier les lois régissant le fonctionnement de l’univers.  Si elle est une héroïne, dit Bergen, elle est celle d’une “pop’astrophysique” arrivée jusqu’à nous comme les rêves, mi-ironiques, mi-brûlants, d’une avant-garde n’ayant pas fini de nous travailler. C’est en tout cas le cas de Véronique Bergen elle-même, elle qui affole les concepts comme Barbarella affolait les étoiles. »

Laurent de Sutter, Focus Vif, 30 janvier 2020

lire l’article du focus vif

Chroniques d’Asteline

« Elle présente l’héroïne comme un électron libre, défendant les parias et autres opprimés dans un esprit “peace and love”, mettant son désir sexuel avant la loi et les tabous, avec un rapport hospitalier à l’autre (qu’il soit humain, extraterrestre, ange, cyborg…). Sans oublier déjà des préoccupations écologiques dans certaines aventures.

 »

Lire l’article complet sur les chroniques d’asteline

Le Carnet et les Instants

« L’univers de Forest, dont l’insoupçonnable complexité est soumise à une brillante exégèse, en ressort magnifié, ne se résumant pas au seul personnage de Barbarella ; car nous comprenons que le premier titre, éponyme du personnage, puis Les colères du Mange-Minutes, Le semble-lune, Le miroir aux tempêtes composent une symphonie en mode majeur de la SF française.

 »

Frédéric Saenen, Le Carnet et les Instants, 29 février 2020

Lire l’article complet sur Le carnet et les instants

Blog Les Belles Phrases

« En philosophe qu’elle est aussi, Bergen développe toute une réflexion sur le pouvoir et la puissance, aussi bien dans l’acception de la philosophie antique que dans le sens que leur a donné Nietzsche qui eût pu contresigner ceci concernant Barbarella : “Au désir de pouvoir, elle oppose le désir de puissance”. »

Jean-Pierre Legrand, Blog Les Belles Phrases, 13 avril 2020

Lire l’article complet sur Le blog les belles phrases

Le Soir

« Véronique Bergen (…) en fait une anti-Wonder Woman. Car elle ne singe pas les mecs en répondant au stéréotype de l’amazone guerrière bodybuildée : Barbarella est avant tout ludique et utilise plutôt les manoeuvre érotiques que la force. Elle est plus Parce & Love que Girl Power. Et son désir de connaitre l’amour ne connait pas de frontières (…) »

Jean-Claude Vantroyen, Journal Le Soir, 16 mai 2020

Lire l’article du journal Le Soir

Diacritik

« Ce qui n’empêche pas Barbarella, qui s’attache à une métaphysique de l’immanence, de puiser dans les vieilles mythologies, avouant sa sympathie pour la douloureuse Gorgone. »

Jacques Dubois, Diacritik, 26 avril 2021

lire la critique complète sur le site de diacritik

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