La Libre Belgique
« Son livre aux accents de “passionnante trajectoire” est la version remaniée d’un mémoire de master défendu en 2013 à l’Université de Liège: une étude particulièrement documentée qui accentue notre impatience de voir paraître, avant longtemps, une grande biographie d’Alain Robbe-Grillet. »
Francis Matthys, La Libre Belgique, 9 février 2015
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France Culture (Un autre jour est possible)
Fanny Lorent est invitée dans l’émission de Tewfik Hakem dans le cadre de la série « Barthes dans notre monde » par Tiphaine Samoyault, critique littéraire et écrivain, sur les ondes de France Culture, le 5 mai 2015.
Écouter la séquence sur le site de France Culture
Blog À part
« La jeune essayiste décrit leur “formidable amitié intellectuelle” en trois temps : la découverte inspirante l’un de l’autre (le Ravissement, 1944-1962), la crise (la Déprise, 1963-1966) et leurs timides retrouvailles autour de leurs conceptions du “romanesque” (1967-1980). En 1953, Barthes, qui vient de réunir ses articles sous le titre Le Degré zéro de l’écriture, félicite son cadet de sept ans pour premier roman, Les Gommes, qu’il juge “important, d’avant-garde, en un mot réussi”. Et dans Critique, il lance le concept de “littérature objective”, fondant ainsi “un des mythes qui suivra l’œuvre romanesque de Robbe-Grillet”. Il récidive l’année suivant avec Le Voyeur, livre marquant dans le parcours du futur “pape du Nouveau Roman” dont les textes théoriques autour de sa pratique romanesque, qu’il publie à l’époque, doivent une “dette” envers ceux de son admirateur. Mais à la fin de la décennie, Barthes prend ses distances avec lui, tant à l’égard de son roman (Dans le labyrinthe) que de son discours théorique. Cette évolution est longuement détaillée et argumentée par Fanny Lorent qui s’appuie sur les écrits de deux protagonistes mais aussi sur des apports critiques extérieurs, tout en analysant ce que sous-entend le concept de “littérature objective”. »
Michel Paquot, Blog À part, 17 décembre 2015
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