Cinélivres (L’Obs)
« Cinélivres a souvent parlé de l’art du montage tant il est important pour le cinéma. C’est autant la salle de torture comme le disait Federico Fellini que le travail d’une dentellière selon Jean-Luc Godard. Indispensable toutefois, si bien que le monteur est aussi important que le réalisateur car c’est lui qui, en dernier lieu, donne son souffle et son sens au film. Le livre, dans la collection Caméras subjectives, dirigée par José Moure et Frédéric Sojcher, donne la parole à divers réalisateurs et monteurs pour expliquer le travail du montage. Le livre est coordonné par N. T. Binh et Frédéric Sojcher pour nous éclairer : À quoi correspondent les liens entre cinéastes et monteurs ? De quelle manière s’établit et se répartit concrètement le travail entre eux ? Comment, à partir d’exemples concrets comprendre les différentes strates d’écriture qui se cristallisent au montage ? Qu’est-ce que réécrire un film après le tournage ? Pourquoi certains cinéastes et monteurs décident-ils de poursuivre ou, dans d’autres cas, d’interrompre leur union ? Car c’est bien de couples qu’il s’agit… »
Jean-Max Méjean, Cinélivres, 17 octobre 2017
Lire l’article complet sur le blog Cinélivres
Dans la deuxième partie de l’émission « Social Club », Frédéric Sojcher répond aux questions de Frédéric Taddéi à propos de L’Art du montage sur les ondes de Europe 1, le 7 novembre 2017.
Écouter le podcast sur le site d’Europe 1
Dimitra Bouras, la rédactrice en chef de Cinergie, interroge à propos de l’art du montage le cinéaste Frédéric Sojcher aux multiples casquettes (réalisateur de HH, Hitler à Hollywood, enseignant à La Sorbonne où il dirige le master professionnel en scénario, réalisation et production depuis 2005, auteur et coordonnateur d’une vingtaine d’ouvrages sur différentes questions du cinéma : la mise en scène, la direction d’acteur, la production, etc.), le 16 janvier 2018.
Lire et voir la vidéo de l’entretien sur le site de Cinergie
« Parmi les nombreux propos éclairants, on peut citer pêle-mêle ceux de Patrice Leconte sur ce que lui a appris le montage de films publicitaires et les limites que cette approche présente pour un long métrage, les propos de Yann Dedet sur l’incapacité au montage à rattraper des erreurs scénaristiques ou de jeu d’acteur, Catherine Breillat évoquant les silences nécessaires à ses films qu’elle trouve trop bavards, ou encore Jacques Audiard expliquant l’importance du montage sonore dans le film Un Prophète. »
Didier Bourg, L’Écran, février 2018
Afficher le PDF de l’article complet