Webradio Espace Livres
« Écrivain et poète vrai, l’auteur de Pour une poésie du dimanche par son talent, son travail d’orfèvre, son engagement dans l’acte d’écrire nous donne le bonheur de lire, et de relire, de nous attarder sans fatigue ni lassitude sur ces sonnets qu’il consacre aux poètes du dimanche. […] Un recueil à découvrir, une personnalité à écouter. […] Georges Bataille se demandait : “Comment nous attarder à des livres auxquels, sensiblement, l’auteur n’a pas été contraint…”. Avec Jan Baetens, la question ne se pose pas. Écrivain et poète vrai, l’auteur de Pour une poésie du dimanche par son talent, son travail d’orfèvre, son engagement dans l’acte d’écrire nous donne le bonheur de lire, et de relire, de nous attarder sans fatigue ni lassitude sur ces sonnets qu’il consacre aux poètes du dimanche. »
Edmond Morrel, Webradio Espace Livres, novembre 2009
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CritiquesLibres.com
« Démarche ô combien sympathique et instructive que celle de Jan Baetens, auteur et poète flamand d’expression française, qui s’intéresse dans cet ouvrage à ce qu’on appelle les poètes du dimanche […]. Drôle, passionnant et enrichissant. Jan Baetens joue avec les mots pour leur faire dire l’ordinaire dans ce qu’il a d’extraordinaire. De l’amour du métier transparaît aussi celui de l’Homme et de la langue. Exercice intéressant, outre l’aspect ludique, car il permet non seulement de confirmer le talent de Baetens dans l’art de maîtriser cette poésie du présent, mais aussi d’inciter le lecteur de se frotter à l’exercice et de tenter lui-aussi de mettre sa profession en musique du langage. »
Sakhti, CritiquesLibres.com, 6 novembre 2009
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Revue Europa postcoloniale
« Dès l’épigraphe, les intentions de l’auteur sont claires: si seul “le métier” plonge les artistes et les écrivains dans un monde, certes plus prosaïque, mais néanmoins épanouissant en raison des artifices qui le gouvernent, alors mieux vaut arrêter de jouer la comédie, renoncer à toute posture intellectuelle qui aurait pour but de nous protéger de l’extérieur par le biais d’une rhétorique de circonstance, et, finalement, assumer le statut – faussement contraignant car souvent plus honnête – de “créateur en marge”, préférant parler “de quelque chose plutôt que de soi”, dont on sait, malgré tout, beaucoup trop ou pas assez. »
Marion Duvernois et Guido Furci, Revue Europa postcoloniale, février 2014
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