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Superpositions

Collection particulière d'un cinéma porno bruxellois

Domaine(s) :
Genre(s) :
ISBN : 978-2-87449-904-3
Format : 28 x 22 cm
Pagination : 112 pages
Prix : 24€
Parution : septembre 2021

On dit parfois que c’est la censure qui fait la pornographie.L’exploitant du cinéma ABC, salle porno en activité entre 1972 et 2013 sur un boulevard du centre de Bruxelles, devait bien s’en amuser.
Comme devant tous les cinémas du monde, on pouvait découvrir dans les vitrines de l’ABC des photos d’exploitation donnant un avant-goût des films à l’affiche. Mais la publicité qui s’offrait ici au regard des passants portait des marques bien particulières : un outrage aux bonnes mœurs est vite arrivé…
Dans un jeu de provocation, de dérision et de test des limites de l’acceptabilité, l’exploitant censurait ses images publicitaires avec toute une série d’accessoires de papeterie, sans se priver de choisir comme canevas les clichés les plus explicites. Les touches de censure, pour le moins artisanales et souvent d’une grotesque lourdeur, apportent une qualité esthétique et une dimension inattendue, dissimulant et soulignant à la fois. Ce catalogue de photos d’exploitation censurées montre comment la censure peut devenir un objet de provocation et refléter les limites morales d’une époque.

 

Un livre créé en partenariat avec le cinéma Nova.

Mauvais Genres – France Culture

Le samedi 18 septembre 2021, une chronique était consacrée à Superpositions dans l’émission Mauvais genres sur France Culture. 

Réécouter l’émission complète sur France culture

Bruzz

« Het gaat om een luxueus uitgegeven – linnen omslag en goudopdruk incluis – collectie vintage pornofoto’s die werden teruggevonden in het archief van Cinema ABC. De foto’s hingen in de jaren 1970-1980 in de vitrine van de bioscoop vlakbij Rogier en moesten bezoekers naar binnen lokken. » 

Gerd Hendrickx, Bruzz, 17 septembre 2021

LIRE L’ARTICLE COMPLET De bruzz

Le Journal cinéma du Dr. Orlof – Blog

« Le résultat est enchanteur puisqu’il s’agit d’un véritable jeu de cache-cache entre l’obscénité la plus crue et une sorte de poésie naïve et quasi-surréaliste. »

Dr. Orlof, Le Journal cinéma du Dr. Orlof, 27 septembre 2021

LIRE L’ARTICLE COMPLET SUR le blog

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