Le nouveau blog littéraire de Pierre Ahnne
« Dans tout cela, ce qui frappe le plus et qui donne à l’entreprise toute sa force, c’est la légèreté. Je n’entends pas par là frivolité, évidemment, mais art de ne pas appuyer et de se déplacer par glissement sur les surfaces. Cela s’applique au texte, lisse, faussement naïf, se gardant toujours du commentaire. C’est vrai aussi des dessins, sans ombres, dans un parti-pris de ligne claire qui leur confère l’exactitude hallucinée des images de rêve. Mais, surtout, la légèreté comme art des surfaces est au principe de la logique même qui sous-tend l’œuvre dans son ensemble. Comme en analyse, c’est en effet de l’association, c’est-à-dire de la simple juxtaposition, que naît le sens. Ainsi par exemple de la séquence qui, partant du dessin d’une mouche volant dans la chambre d’hôpital où se prépare à mourir le père, glisse au goût de celui-ci pour la pêche (à la mouche ?) et aboutit à un épisode de la guerre où il a peut-être joué le rôle du mouchard. »
Pierre Ahnne, Le nouveau blog littéraire de Pierre Ahnne, 22 août 2015
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La Libre Belgique
« Avec Michel Longuet (Reims, 1945), conformément à son symptôme masochique, on ne trouvera aucune espèce de dentelle pas davantage dans les mots que dans les idées. Il se met tout nu, à poil même si l’on compte le nombre d’occurrences où, plus ou moins à la dérobée, il “caresse la bite” d’un petit camarade. Ce qui rend Le Divan qu’il vient de publier, d’une sincérité et d’une justesse extrêmes, et en fait un livre fort attachant au fil des pages. »
Eric de Bellefroid, La Libre Belgique, 24 août 2015
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France Culture (Les bonnes feuilles)
Michel Longuet lit les premières pages de son dernier livre sur les ondes de France Culture, le 21 septembre 2015.
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Libération
« De la collaboration familiale à ses propres penchants masochistes, le dessinateur Michel Longuet a couché sur le papier le formidable récit de ses séances de psychanalyse. »
Libération, 24 septembre 2015
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