Lié d’amitié avec Paul Cuvelier durant les dernières années de sa vie, Philippe Goddin lui a consacré deux ouvrages, avant de se vouer à Hergé, que l’auteur de Corentin vénérait.
Dépositaire des lettres que Cuvelier adressa à Huynh-Yen, il partage ici l’éclairage que cette correspondance lui a apporté.