Facebook
Instagram
Youtube

Buzz-moi

Domaine(s) :
ISBN : 978-2-87449-076-7
Format : 14.8 x 21 cm
Pagination : 144 pages
Prix : 15€
Parution : août 2009

Dessiné par une débutante et publié à un tirage d’abord modeste, le premier volume de Fraise et Chocolat connaît un succès aussi rapide qu’inattendu. Au centre du « buzz », Chenda – alias Aurélia Aurita – est en quelques semaines l’objet de toutes les attentions mais aussi de nombreuses attaques, et tente de faire face. Buzz-moi retrace la carrière de ses ouvrages, telle que l’a vécue l’auteure au fil des mois. Des coulisses des médias généralistes (de Elle à Libé, d’Europe 1 au Grand Journal de Canal +) à celles du milieu de la bande dessinée (éditeurs, festivals, lectrices et lecteurs), le livre raconte de manière vive et souvent drôle comment le tourbillon suscité par Fraise et Chocolat a été vécu par celle qui en est à la fois le créateur, le témoin et l’analyste.

Blog Le Lac des signes (Le Monde diplomatique)

« Avec cette sincérité sans concession à laquelle elle a habitué ses lecteurs, [Aurélia Aurita] raconte tout : son excitation devant le succès, l’éblouissement des sunlights, la fierté de sa maman (qui, grâce à elle, croise Alain Souchon, mais évite de lui dire qu’elle a toujours préféré Laurent Voulzy, “pour ne pas lui faire de la peine”)… mais aussi, très vite, sa consternation devant la cuistrerie et/ou la bêtise de certains journalistes. Tranquillement, très loin des louvoiements consensuels que l’on pouvait craindre sur un tel sujet, Aurélia Aurita balance, donne des noms. »

Mona Chollet, Blog Le Lac des signes (Le Monde diplomatique), août 2009

Lire l’article complet sur le site du Monde diplomatique

MadmoiZelle.com

« En refermant le livre d’Aurélia, le premier truc qui m’est venu à l’esprit : “cette petite est sacrément couillue !”… Elle doit le savoir, d’ailleurs, puisqu’elle s’est dessinée sur sa couv’ en disant “Oh putain oh putain, j’vais me faire bouffer toute crue, moi”. Mais je mets une piécette qu’Aurélia s’en tape, de se faire bouffer toute crue et qu’elle souhaite juste avoir, comme pour Fraise et Chocolat, une démarche sincère et désintéressée. Bien joué, Aurélia, ça marche à merveille. »

Fab, MadmoiZelle.com, août 2009

Canal BD

« Auteur de bande dessinée débutante, Aurélia Aurita a explosé avec son album Fraise et Chocolat. Sulfureux et original, ce livre a totalement affolé les médias ! Elle nous raconte avec humour et recul le buzz qu’elle a suscité et comment elle a vécu cette frénésie. Presse, éditeurs, festivals ou fans, tout y passe, avec une impressionnante sincérité ! »

Canal BD, août-septembre 2009

Libération

« L’intimité étant une bestiole dont toute l’activité consiste à se rendre méconnaissable, on a toujours besoin de bras neufs pour trouver les formes qui la rendent, à chaque génération, à nouveau audible. Aurélia Aurita a le génie d’être contemporaine. »

Eric Loret, Libération, septembre 2009

Lire l’article complet sur le site de Libération

Le Monde 2

« [Aurélia Aurita] n’a pas peur de dire les choses, de donner des noms. Déjà, dans Fraise et Chocolat, elle disait le nom des choses, elle les dessinait, des corps, des sexes, des positions, avec une simplicité qu’on retrouve dans Buzz-moi, sauf que la douceur et l’excitation de sa vie amoureuse ont laissé place au trouble et à l’inquiétude de la vie mondaine. Les télés, les interviews, les articles, elle en décrypte, l’air de rien, toujours avec ce trait juste, sobre et impudique, la nature sadomasochiste. »

Christophe Donner, Le Monde 2, septembre 2009

La BD en Bulles

« Très reconnaissable, son trait léger et arrondi apporte une fois de plus une touche de charme et de fraîcheur. »

Maïté Vanneste, La BD en Bulles, 31 octobre 2009

Le Magazine des livres

« Ces machines à oublis, à produire du superficiel [les médias], Aurélia Aurita les épingle avec gentillesse, avec un humour tendre qui surprend, en montrant les espoirs absurdes et les émotions qu’ils font naître en nous. Alors que maints journalistes l’ont traitée d’exhibitionniste depuis les deux fameux tomes de Fraise et chocolat, Aurélia Aurita nous apparaît plutôt comme une personne honnête, tendre et délicate […]. En ce sens, Aurélia Aurita est proche d’une sorte de poétique de l’aveu, qui permet de dire ce par quoi l’on est ému sans y attacher trop d’importance. […] Elle est la discrète, la douce, la pudique impudente et son dessin rapide et subtil reste longtemps gravé dans nos petits coeurs. »

Bertrand Du Chambon, Le Magazine des livres, novembre-décembre 2009

Blog IDDBD

« Elle raconte sa relation à la presse écrite et télévisuelle, lance quelques anecdotes sympathiques mettant en lumière quelques personnalités célèbres, montre les pratiques douteuses de certains journalistes culturels (ou non). Bref, c’est la tempête médiatique et la folie afférente. Elle ne l’a pas cherché, pourtant elle la trouve. […] On y retrouve les mêmes formules que dans ses précédents livres : une forme de recueil de souvenirs s’ajoutant les uns à la suite des autres. Dans ces saynètes successives, l’action passé est vécue et dessinée tandis que la “voix off” – la voix présente de l’auteure elle-même – commente avec un certain recul son propre vécu. D’un côté le dessin est simple, parfois naïf ou caricatural, de l’autre, l’écriture est fine, souvent drôle et acide, parfois ambigüe. On ressent chez Aurélia Aurita une vraie recherche de sincérité. Elle assume complètement sa subjectivité et sa sensibilité. En tout cas, si ce n’est pas le cas, elle est encore plus doué que je ne l’imaginais. »

David Donnat, Blog IDDBD, 27 juin 2013

Lire l’article complet sur le blog IDDBD

Newsletter