CineChronicle.com
« Vampire et cinéma, l’union est, on le sait, consommée depuis les origines. La première gageur de ce formidable essai signé Olivier Smolders, écrivain et cinéaste […] est de parvenir à synthétiser en quelques 128 pages ce rapport fécond et conflictuel. […] Dans ce que Smolders appelle en introduction un « palimpseste d’images et de textes », le lecteur emprunte à ses côtés une série de chemins propre à un parcours labyrinthique qui permet de (re)découvrir les blasons d’un imaginaire morbide et ô combien fantasmatique. […] On ne peut que souhaiter que Smolders prolongera encore un peu ses pistes de réflexions à partir d’un corpus élargi. »
Jacques Demange, CineChronicle.com, 16 février 2019
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Le Carnet et les Instants
« Smolders souligne bien entendu l’importance capitale de cette œuvre et son indéniable originalité, mais il ne manque pas de la réinscrire dans une tradition où l’on rencontre des noms seulement partagés par le happy few : Polidori, secrétaire et médecin de Lord Byron, avec son personnage de dandy Lord Ruthven en 1820, l’Irlandais Sheridan Le Fanu avec Carmilla (1871). »
Frédéric Saenen, Le Carnet et les Instants, 23 février 2019
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Vampirisme.com
« Nosferatu contre Dracula est un essai aussi court qu’original, en cela qu’il choisit davantage de mettre en lumière la variation imaginée par Murnau plutôt que les descendants plus tape à l’œil dont Browning a été un des premiers artisans. L’ensemble est certes partisan (l’auteur ne cache pas son opinion sur certaines approches ou films), mais il fait mouche et permet d’aborder sous un angle un peu différent la genèse du cinéma des vampires. »
Adrien Party, Vampirisme.com, 6 mars 2019
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Bruxelles Culture
« Olivier Smolders revient sur la fonction du buveur de sang au cinéma et analyse l’évolution de Dracula, pour comprendre la manière dont il a été compris ci et là, passant de faire-valoir à protagoniste. […] Alors Dracula-Nosferatu, même démarche ? Reprendre le dossier aux débuts permet de relativiser et de comprendre ce qui caractérise chacun, avec de nombreux points de convergence mais aussi quelques singularités qui prouvent que chaque cinéaste est un artiste qui s’inspire d’un imaginaire tant collectif qu’individuel. Un essai qui devrait passionner les amateurs de fantastique et d’horreur ! »
Daniel Bastié, Bruxelles Culture, 15 mars 2019
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BX1 (Le Cour(r)ier recommandé)
Le 15 mars 2019, en pleine période de carnaval, Olivier Smolders est l’invité de David Courier pour parler des origines du mythe de Dracula qui a quelqu peu perdu de sa superbe.
Revoir l’émission sur le site de BX1
Bref Magazine
« Tout ce que fait l’éclectique et pointu Olivier Smolders est hautement digne d’intérêt et ce petit livre récemment publié sur la figure du vampire l’est à son tour. »
Stéphane Kahn, Bref Magazine, 23 mars 2019
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Focus Vif
« L’ouvrage de Smolders ne se contente pas d’opposer les deux figures. […] Il établit aussi la généalogie du mythe, avant d’en étudier l’évolution à travers ses différentes incarnations, littéraires (chez Bram Stoker et d’autres) et cinématographiques (pour Murnau ou Dreyer, et dans les cycles Universal puis Hammer) en particulier. »
Jean-Pierre Pluijgers, Focus Vif, 4 avril 2019
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Le Mag du Ciné
« L’ensemble donne lieu à un ouvrage documenté, pertinent et passionnant, radiographiant à bon droit la multiplicité d’états faisant de Nosferatu/Dracula l’un des personnages les plus fascinants et plastiques de l’histoire de la littérature et du cinéma. »
Jonathan Fanara, Le Mag du Ciné, 19 mai 2019
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Chroniques d’Asteline
« Le tome consacré à Nosferatu contre Dracula vaut particulièrement le détour. Tout d’abord parce que le vampire cristallise des influences horrifiques loin dans l’histoire de l’humanité et ses mythes ; qu’on y découvre ensuite que le roman “original” de Bram Stoker ne l’était pas forcément tant que ça, original ; que la créature a énormément évolué au gré de ses réappropriations littéraires et cinématographiques… ; et puis parce qu’avant de rimer avec un ensemble de stéréotypes qui le font ressembler à un magicien gothique et burlesque, ce lugubre protagoniste fait référence à des pulsions ataviques, des traumatismes enfouis des siècles passés ou encore, pourquoi pas, des modèles religieux ?!? »
Joachim Regout, Chroniques d’Asteline, juin 2019
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So Film
« Nous avons, par le très séditieux cinéaste belge Olivier Smolders, auteur de la meilleure adaptation existante d’un Sade (le court La Philosophie dans le boudoir), un percutant Nosferatu contre Dracula constellé de partis pris délectablement choquants. Soit un parallèle fort convaincant entre Dracula et le sanguinolent Jésus-Christ, une histoire nuancée du cannibalisme où intervient Montaigne, une généalogie mécréante des vampires “figés dans une sexualité infantile pré-phallique”, une relecture perçante de Tun peu surestimé roman de Bram Stoker… »
Noël Godin, So Film n° 71, juin 2019
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