L’Avis des bulles
« Au-delà de l’histoire d’amour, 286 jours est aussi le récit d’un artiste en quête de rédemption amoureuse et artistique et qui trouve en la jeune artiste une muse inespérée ; cette dernière, tombée amoureuse des livres du dessinateur, veut découvrir l’âme que contenaient ces albums et lui redonner le goût d’en faire. Loin d’un roman-photo traditionnel, les images parviennent à préserver une grande force interne, tournée vers l’intimité qu’elles révèlent, tout en rentrant en résonance avec celles qui les entourent. 286 jours est une œuvre tendre, empli d’émotions qui appellent la sensibilité du lecteur : un livre sincère et beau. »
Jean-Charles Andrieu de Levis, L’Avis des bulles, 2014
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Zoo
« C’est un voyage étonnant, entre un petit appartement en France et une chambre exiguë en Espagne, dans lequel l’auteur et sa muse embarquent un lecteur gêné, indécis, mais tout de même charmé. »
Alix De Yelst, Zoo, janvier 2014
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Fou de food
« 286 jours n’est pas un roman, ni un album de photos, ni même une aventure filmée ; c’est le recueil d’un quotidien sensuel, la pellicule incandescente d’un amour fusionnel. »
Cathia Engelbach, Fou de food, janvier/février 2014
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Iconophage (Radio Active)
Éric Litot évoque 286 jours dans l’émission « Iconophage », le 4 février 2014.
Blog Une autre histoire
« Le dernier livre de Frédéric Boilet aborde bien sur une multitude de thèmes sur le couple et son engagement. Qu’est-ce qu’une relation amoureuse ? Comment se construit-elle, se dénoue elle ? Mais au-delà de ces questionnements, il centre une grande partie de son histoire, sur une chose magnifique et d’une incroyable intensité. Le regard et l’image qu’il nous transmet. Le sentiment qui passe à travers lui, la joie, le bonheur, la tristesse, l’envie, la jouissance. Rarement, on avait aussi bien mis en scène le regard amoureux, le regard de l’autre et son propre regard. Et pour illustrer ce journal privé qui se déroule sous nos yeux jours par jours, Frédéric Boilet l’utilise tout simplement un appareil photo et le journal devient album de famille (et non roman photo, la nuance est très importante). »
David Fournol, Blog Une autre histoire, 6 février 2014
Le Monde des livres
« Les mauvais coucheurs (je sais ce que j’écris) vont geindre comme d’habitude contre le narcissisme, l’indécence, l’exhibitionnisme. On s’en fiche, mais éclairons-les quand même. La représentation de l’acte sexuel étant bien plus délicate par l’image, qui impose la force de son réalisme, qu’au travers des mots qui instaurent une distance, les acteurs-auteurs n’ont pas pris ici, disons-le, de gros risques. En revanche, le charme de leurs photos les plus anecdotiques […] nous fait faire l’économie de l’obscénité sentimentale dans laquelle tombent bien des romans d’amour. »
Catherine Millet, Le Monde des livres, 7 février 2014
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Focus Vif
« Au fil des saisons, des escapades, à Barcelone, à Paris, et des états d’âmes qui vont de l’euphorie aux doutes et finalement à la rupture, cette balade de la dépendance sexuelle renouvelle le regard sur ce fruit amer qu’on appelle l’amour. […] Les histoires d’amour finissent mal… en général. Celle-ci ne fait pas exception. Mais au moins elle aura accouché d’un livre singulier, comme une trace d’encre sensuelle sur le buvard des désirs. »
Laurent Raphaël, Focus Vif, 14 février 2014
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Des mots de minuit, une suite… (Culturebox)
« C’est une histoire d’amour qui nous est livrée, au plus près, au plus juste, au plus sensuel, au travers des objectifs de Frédéric et Laia. Sous l’emprise de la passion le couple rend compte avec une grande acuité de l’attirance des premiers instants. Leurs sens sont aiguisés, la vision qu’ils ont l’un de l’autre l’est aussi. […] C’est un livre actuel, à l’image de notre époque impudique et extravertie où l’on aime à se mettre en scène. C’est aussi un livre qui nous touche bien au-delà de cette dimension d’amour sur ordonnance. Il ne fait pas de nous des voyeurs, au contraire il nous ramène à nos vies et à nos histoires secrètement vécues. »
Marie-Odile Regnier, Des mots de minuit, une suite…, 19 février 2014
Lire l’article complet sur le site de Culturebox
Libération Next
« On est dans le récit érotique d’une histoire d’amour qui, même s’il paraît impudique, reste teinté de mystère. Toute de suite, ils semblent s’aimer à la folie, être un couple indestructible, leur amour est sur un toit du monde… On se trompe. Par Skype, un jour, ils se disputent. Elle le quitte. Il lui dit qu’il l’aime, elle tombe amoureuse d’un autre homme, deux semaines après. Il attend, seul, à une terrasse de café, avec deux verres de vin blanc. Elle ne vient pas. L’amour dure 286 jours, mais les souvenirs, eux, sont éternels. »
Quentin Girard, Libération Next, 21 février 2014
Lire l’article complet sur le site de Libération
Sensuelle Magazine
« Des photos dont l’apparente banalité, par effet d’identification, renvoie à la figure du lecteur les souvenirs de ses propres passions. Bien qu’unique et n’appartenant qu’à eux, l’histoire vécue par les auteurs n’en révèle donc pas moins l’universalité des passions. Un livre singulier et très émouvant. »
Stéphane Rose, Sensuelle Magazine, février/mars 2014
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Du9
« Si 286 jours marque une étape dans le travail de Frédéric Boilet c’est justement de s’en abstraire d’une. Avant, pour lui, la photographie était intermédiaire, elle était support au dessin. Aujourd’hui, et des le début du récit (le 3e jour), le dessin est abandonné. La photographie est là, objectivement elle-même car elle n’est plus le “à développer” mais le “quasi immédiateté”, un presque miroir aux reflets non inversés et en léger différé. Du format du livre, à l’impression recto verso tout en découle. Pourquoi ? Peut-être par cette urgence inconsciente d’une histoire en décompte, entre deux visions, deux regards, porteurs de l’idée d’un début fragile ou de fins déjà vécues. Et aussi parce que l’ “On se cajole” puis l’ “On se désire”. L’auteur multiplie les recettes (de cuisine), mais sait que le désir ne se fait verbe que dans sa part d’imprévisible, de fugitif. La photographie devient alors nécessaire moins comme mémoire que comme rapidité supérieur au regard, pouvant déceler ce qui se lie à la fugacité. »
Jessie Bi, Du9, mars 2014
Lire l’article complet sur le site de Du9
Blog Angle[s] de vue
« Se dégage alors de cet album – à la fois étonnant, innovant, et des plus personnels – une extrême sincérité et une telle volonté de se livrer sans tabou aucun, que l’on ne peut que se sentir concerné, touché, et parfois même troublé par cette histoire d’amour pleine d’émotion(s) et de passion…
…ces 286 jours au long desquels nous observerons deux êtres se découvrir, s’apprivoiser, s’aimer, et se déchirer sous nos yeux indiscrets. »
Blog Angle[s] de vue, 6 mars 2014
Lire l’article complet sur le blog Angles de vue
Marianne
« C’est une histoire simple et belle, racontée et montrée en toute impudeur. L’histoire d’un amour, d’une rencontre, la passion des corps, le bonheur de l’instant, la complicité, la magie du quotidien, les premières disputes, l’incompréhension, l’éloignement, les tentatives pour sauver ce qui peut l’être, la douleur de la séparation. 286 jours incandescents, une aventure qui brûle tout, intense jusqu’au dernier moment, malgré la fin et les chemins qui se séparent. […] Des regards croisés, audacieux parfois, qui mettent le lecteur dans une position de voyeur sans jamais être un intrus. L’art subtil et difficile de rester délicat, de faire ressortir la poésie des choses et des êtres, en montrant tout. »
Vladimir De Gmeline, Marianne, 14-20 mars 2014
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M… Belgique
« Un homme, Frédéric Boilet, une femme, Laia Canada, redéfinissent et renouvellent l’imaginaire cru et sensuel du couple. […] En 286 jours, la photographie, un peu comme une mémoire de l’air, conserve ainsi la mémoire de toutes nos histoires, le souvenir de nos faits, la sensualité de nos gestes, une étrange beauté aussi, celle de la destruction d’un coeur, ici et maintenant. »
Jean-Roger Pesis, M… Belgique, 3 mars-28 avril 2014
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Blog Lifeproof
« Ce récit est à la frontière, inclassable, unique. L’histoire d’amour dont 286 jours est l’objet, on la vit avec vous, on la ressent même s’il est impossible de saisir tout ce qu’elle a été. […] Entrer dans la sphère privée d’un couple est quelque chose de précieux, il faut un regard doux, respectueux qui cherche à montrer des sentiments qui peuvent être si fugaces, si fragiles ou si forts qu’ils en deviennent des trésors à découvrir et à préserver. 286 jours est un recueil, un livre à voir, découvrir, lire, quelque chose qui peut nous changer, nous faire remettre en question ce que l’on vit, nous faire faire des choix autres qui pourraient être considérés comme un peu fous, sortir de ce qui est établi, prévu pour plonger dans le vide. Chaque relation est à la fois unique et universelle. […] 286 jours est multiple : livre de recettes, vision du quotidien, d’une maison, les chattes qui y vivent, on y lit des extraits de chansons, dialogues entre deux, photographies de vous et de celle qui vous a quitté, c’est à la fois un récit, un roman, une autobiographie… Il est cela et plus encore. »
Cécile Ripoll, Blog Lifeproof, 30 juillet 2014
artpress
« Si la littérature n’est plus seulement ce qui se lit, mais aussi ce qui s’expose, il va sans dire que l’iconographie de l’écrivain, de l’acte d’écrire et de l’objet du livre, qui est aujourd’hui une iconographie presque purement photographique, cesse d’être considérée comme un apport marginal à l’œuvre pour se placer au contraire au centre même de la vie littéraire. L’écrivain n’est plus celui qu’on connaît pour l’avoir lu, mais celui dont on voit circuler l’image. »
Jan Baetens, artpress, mai 2018
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