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LAP !

Un roman d'apprentissage

Domaine(s) :
ISBN : 978-2-87449-185-6
Format : 14.5 x 21 cm
Pagination : 144 pages
Prix : 15€
Parution : janvier 2014

« Sur le pointillé des formulaires, c’était le Lycée Autogéré de Paris. Mais pour tout le monde, c’était LAP.

LAP, pas “L.A.P”.
LAP ! comme une onomatopée.
LAP : le bout de la langue fait un petit bond le long du palais, puis les lèvres s’unissent pour exhaler un soupir.
LAP ! C’est le dernier son qu’on entend avant de se faire engloutir. »

Peut-on tomber amoureux d’un lieu ? C’est l’histoire que nous raconte Aurélia Aurita, apprentie reporter BD qui débarque un beau jour de mai dans un lycée pas comme les autres… Un lycée sans proviseur ni surveillants, autogéré par les professeurs et les élèves, où les décisions se prennent par vote à main levée et où il n’y a ni notes ni obligation d’assister aux cours…

D’abord simple observatrice, Aurélia se fait peu à peu happer par ce lieu, fascinée par son fonctionnement atypique et surtout par les personnages attachants qu’elle y rencontre. Jeunes punks, rappeurs en herbe, clowns-nés, enfants sauvages, fils de PDG ou de saltimbanques, toutes ces identités cohabitent pour former la communauté du LAP, celle des Lapiens et des Lapiennes.

Au croisement du reportage, de l’observation participante et de l’autobiographie, cette bande dessinée nous fait vivre une expérience singulière et touchante. Aurélia a partagé pendant un an le quotidien de ces jeunes. Elle les a vus grandir et faire l’apprentissage de la vie en collectivité, entre tours de ménage et tours de vote. Elle a partagé leurs joies, leurs chagrins et leurs émerveillements. Elle nous raconte le LAP de l’intérieur, à travers un portrait intimiste qui déborde le cadre du reportage pour devenir une réflexion sur la passion et l’engagement, dans la continuité de Fraise et Chocolat.


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RFI (Vous m’en direz des nouvelles !)

Aurélia Aurita est l’invitée de Jean-François Cadet dans son émission « Vous m’en direz des nouvelles ! » pour parler de sa nouvelle bande dessinée, le 28 janvier 2014.

ÉCOUTER LA SÉQUENCE SUR LE SITE RFI

Gala

« L’auteure de Fraise et Chocolat – une série d’albums “autobiographiques et sexuellement décomplexés”, selon ses propres termes – assure ne pas rechercher le militantisme à tout prix. Autodidacte talentueuse, elle précise : “Forcément, en racontant ce qui fait notre vie, nos préoccupations, en décrivant notre environnement, notre entourage, un peu comme un reportage, sans rechercher le réalisme, mais en tâchant de rester honnête et juste, nous donnons un point de vue sur la société actuelle”. »

Amélie de Menou, Gala, 29 janvier 2014

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L’Étudiant

« Dans LAP !, l’auteure se met en scène. Elle est une spectatrice… qui ne le reste pas bien longtemps. On le voit : profondément touchée par les rencontres qu’elle fait, Aurélia Aurita se laisse dépasser par son sujet et devient, peu à peu, une “lapienne” ; de cœur. Au centre de l’ouvrage, et de cet établissement : l’humain. Et cette richesse humaine, l’auteure en témoigne bien ; tant et si bien que le lecteur, lointain spectateur, peut parfois avoir l’envie de lui aussi faire partie de la petite communauté qu’il voit, au fil des pages, évoluer. Instructif et inspirant. »

Sonia Déchamps, L’Étudiant, 29 janvier 2014

Lire l’article complet sur le site de L’Étudiant

Radio Nova (Nova Book Box)

Richard Gaitet a fait une jolie lecture de LAP! dans le cadre d’une émission spéciale BD au moment du Festival de la bande dessinée d’Angoulême, le 30 janvier 2014.

Bdzoom.com

« Tout le monde a un avis sur le système d’enseignement français que l’on trouve au choix, trop élitiste ou trop démagogique, avec des élèves dont le niveau baisserait de manière alarmante ! Ancienne bonne élève — elle a mené à leur terme ses études en pharmacie —, Aurélia Aurita a décidé de relater en bande dessinée sa découverte enchantée d’un établissement hors normes, le Lycée Autogéré de Paris ou LAP. Son reportage permet de découvrir les innovations pédagogiques et les élèves attachants d’un lycée pas comme les autres. […] Toujours avec un style vif et lâché, Aurélia Aurita renouvelle, avec brio et une grande humanité, ses thèmes d’études, après l’autobiographique et érotique Fraise et chocolat et l’album jeunesse Vivi des Vosges, chez le même éditeur. »

Laurent Lessous, Bdzoom.com, 17 février 2014

LIRE L’ARTICLE COMPLET SUR LE SITE BDZOOm.com

Bodoï

« Le nouveau livre d’Aurélia Aurita confirmer le talent de la dessinatrice, et démontre encore qu’il est bien difficile de l’enfermer dans une case. […] Le LAP, c’est le Lycée Autogéré de Paris, une institution publique où les cours ne sont pas obligatoires, où il n’y a pas de notes, ou le bac n’est pas une finalité en soi, mais où les élèves se fixent des objectifs à tenir et participent au ménage et à la cuisine. […] Loin d’être angélique, l’auteure ne cache ni les doutes, ni les échecs, mais transmet avec force la passion commune de tous les occupants (le triptyque enseignants, élèves, agents) du LAP pour leur établissement. […] Même si le portrait n’est pas idyllique, on ne peut que sortir profondément stimulé de ce premier tome (trois sont annoncés) et avec un seul regret : en France, il n’existe qu’une petite quinzaine de collèges et lycées de ce type… »

Maël Rannou, Bodoï, 17 février 2014

LIRE L’ARTICLE COMPLET SUR LE SITE de BODOI

Bodoï

Aurélia Aurita raconte à Céline Bagault, de l’équipe du webzine Bodoï, comment on « tombe amoureux d’un lieu » comme le Lycée autogéré de Paris, le 17 février 2014.

LIRE L’INTERVIEW SUR LE SITE de BODOI

Blog AfterMangaverse.net

« Le trait d’Aurélia Aurita est toujours aussi agréable, simple, franc, particulièrement efficace, semblant si spontané tout en parvenant à faire ressentir tout le travail de recherche, de développement de la narration et de la mise en image qu’il y a derrière. L’ensemble est particulièrement prenant, authentique, touchant, pas du tout manichéen et la dessinatrice ne cherche ni à juger ni à moraliser quoi que ce soit, s’impliquant au travers de ce qu’elle veut faire passer, une énergie, un volontarisme, une passion qui se dégage de chaque page. […] Le résultat est en tout cas brillant, porteur de sens, attachant, dégageant énormément de tendresse, de chaleur et d’apaisement. »

Morgan, Blog AfterMangaverse.net, 27 février 2014

LIRE L’ARTICLE COMPLET SUR LE blog AFTERMANGAVERSE.net

Échos Art

« En attendant la suite, ‎on se laisse porter avec plaisir par le trait simple et dynamique de la dessinatrice. Toujours en noir et blanc, son dessin fait penser à des croquis travaillés, un peu comme si l’artiste avait saisi des instants éphémères, très humains, et forcément précieux. »

Gwendal Fossois, Echos Art, 28 février 2014

LIRE L’ARTICLE COMPLET SUR LE SITE de ECHOS ART

Parutions.com

«  Le graphisme tout rond, et toujours en sympathie d’Aurélia Aurita s’adapte parfaitement à ce cadre où l’empathie entre générations permet de gérer les drames. Si l’auteur se présente, au moins dans son dessin, comme la plus jeune du groupe, elle sait également, au hasard des conversations et d’un dialogue intime partagé avec le lecteur, illustrer les hésitations, les difficultés de cet enseignement très utopiste et pas si évident à mener. Plus qu’un beau roman graphique construit autour d’une galerie d’individus, un bel hommage à l’enthousiasme et à la pédagogie. »

Gilles Ferragu, Parutions.com, 2 mars 2014

LIRE L’ARTICLE COMPLET SUR LE SITE PARUTIONS.com

Phosphore

«  La BD raconte en effet avec tendresse le quotidien de ce lycée. Elle permet de découvrir de manière ludique le fonctionnement d’un lycée où la voix des élèves compte autant que celle des profs, sans proviseur, et dans lequel tous se répartissent les tâches ménagères… »

Laure Tézier, Phosphore, mars 2014

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Paris Match

«  Toujours aussi sensible et passionnée, elle croque professeurs et élèves avec une même générosité, nous donnant envie de repasser le baccalauréat, à condition de ne pas laver le réfectoire chaque soir. Son album est aussi une leçon de militantisme, en douceur et en bulles, qui nous montre qu’il existe d’autres méthodes d’éducation qui marchent, sans le sacro-saint métro, interro, dodo. »

Yannick Vely, Paris Match, 3 mars 2014

Lire l’article complet sur le site de Paris match

Le français dans le monde

«  L’audacieuse Aurélia Aurita fait partie des rares femmes qui se sont imposées en bande dessinée en jouant sur la ligne de l’autofiction. […] Son dernier ouvrage, sous-titré “roman d’apprentissage”, relate, du même trait franc et faussement naïf, une année d’immersion au lycée autogéré de Paris (LAP). […] La dessinatrice s’y met en scène comme partie prenante et agissante de l’aventure. Avec gourmandise et un élan quasiment amoureux. »

Sophie Patois, Le français dans le monde, mars-avril 2014

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BDGest’

« Expressif, vif, sans aspérité ni fioriture, le trait d’Aurélia Aurita accompagne parfaitement l’histoire, pour offrir une vision positive et instructive de ce lycée autogéré. »

M. Natali, BDGest’, 14 mars 2014

LIRE L’ARTICLE COMPLET SUR LE SITE de BDGEST’

Le Nouvel Observateur

« Les lecteurs des séries Valérian ou Flash Gordon le savent : la bande dessinée produit toujours de beaux fruits quand elle s’attaque à la science-fiction. D’une certaine manière, la BD LAP ! d’Aurélia Aurita a elle aussi atterri sur une autre planète et en ramène un reportage qu’on lit en se frottant les mirettes : ça existe donc en France, ce truc ? […] Comment ce phalanstère soixante-huitard, cet “orchestre sans chef d’orchestre” comme le nomme l’auteure, peut-il fonctionner ? Eh bien, la BD d’Aurélia Aurita a le mérite de montrer que si ses principes sont admirables, leur mise en pratique est parfois ardue. […] L’autre question de fond de cette BD-reportage très réussie rejoint celle que pose déjà la pratique de la classe à domicile : dans une société qui réclame à ses membres d’être des élèves/citoyen/salariés/parents efficaces et respectant docilement les “procédures” de tous ordres, un LAP est-il une machine à fabriquer de la liberté et de la créativité ou un sas à marginalité ? »

Arnaud Gonzague, Le Nouvel Observateur, 16 mars 2014

LIRE L’ARTICLE COMPLET SUR LE SITE DU NOUVEL OBSERVATEUR

Benzine

« Dans la lignée des excellentes BD reportages parues ces dernières années (Clichés de Bosnie, Hurlements en coulisses, Un printemps à Tchernobyl…) Aurélia Aurita propose avec LAP ! une plongée d’un an au cœur d’un lycée autogéré situé à Paris. […] Avec une certaine objectivité, Aurélia Aurita dresse un portrait contrasté et sans détour de ce lieu atypique montrant toute les difficultés qu’il peut y avoir à faire vivre un système tel que celui-ci, que l’on imagine au départ très peace and love mais où en réalité les relations humaines sont aussi, voire plus, plus compliqués qu’ailleurs. […] Une chouette expérience de vie racontée de manière assez simple pour ce qui constitue un moment de lecture passionnant et instructif. »

Benoît Richard, Benzine, 19 mars 2014

LIRE L’ARTICLE COMPLET SUR LE SITE du webzine BENZINE

Revue XXI

« Cette enclave entrée en résistance en 1982 n’est pas un no man’s land anarchique. Ici, les règles existent, elles sont simplement différentes. Aurélia Aurita les découvre jour après jour, au cours de son année passée au LAP. […] La jeune auteur se fait adopter par tous les “LAPiens”. Elle s’attendrit devant tel dur à cuire qui fond quand on lui propose un câlin, tel rigolo qui ne termine jamais ses blagues, et plonge dans cette adolescence en musique et en rêves, le nez en l’air et l’impossible en ligne de mire. Le jour, elle s’implique dans le fonctionnement du lycée, donne des cours de dessins. La nuit, elle cauchemarde son retour à l’école : “Qu’es-tu venue chercher au LAP ?, lui demande un professeur avec une tête de monstre. Ta jeunesse perdue ? Une conscience politique ? Un p’tit jeunot ? Retourne à ta place !” Le récit graphique d’Aurélia Aurita est aussi l’histoire d’une jeune femme qui se voit grandir. »

Marion Quillard, Revue XXI, 20 mars 2014

Positiverage

« Un brin partisan donc, ce reportage dessiné sur le vif, d’un trait jeté, met malgré tout un coup de projecteur bienvenu sur cet endroit atypique peu connu du grand public qui a le grand mérite de se battre (visiblement l’éducation nationale ne le considère pas vraiment comme un projet prioritaire…) pour continuer à exister. Car si cette aire de liberté dans l’enseignement reste aussi imparfaite qu’utopique, elle permet cependant de tester d’autres pédagogies que celles que l’on connaît. Des expérimentations dont le système classique pourrait parfois s’inspirer en ces temps de crise de l’École. »

Sullivan Carrard, Positiverage, 30 mars 2014

LIRE L’ARTICLE COMPLET SUR LE SITE de POSITIVERAGE

BDencre

«  Après Fraise et Chocolat, Aurélia Aurita signe cet album reportage sur le LAP. Entièrement en Noir et Blanc, dans un style vif et spontané, sans doute croqué sur le tas. Cet album porte un regard singulier sur un lieu qui l’est tout autant. L’auteure montre clairement les difficultés, les incompréhensions, les contradictions de ce mode de fonctionnement. Le souci d’objectivité est présent mais on sent au fur et à mesure qu’Aurélia Aurita se prend au jeu de la démocratie. Elle s’attache au lieu, aux personnes, sans jamais vraiment prendre parti, pour autant son regard bienveillant met en avant les réussites de ce lycée. »

Alain Lamourette, BDencre, 31 mars 2014

LIRE L’ARTICLE COMPLET SUR LE SITE de BDENCRE

Blog Baz’art

« Bref, une BD très instructive sur un mode éducatif encore bien peu connu, et comme à son habitude, Aurélia Aurita sait trouver la bonne distance pour traiter son sujet en laissant la place aux relations humaines tout en sachant se mettre en scène aussi et privilégiant des illustrations toute en douceur et en rondeur, mais sachant y mettre parfois un peu de cruauté. »

Philippe Hugot, Blog Baz’art, 2 avril 2014

LIRE L’ARTICLE COMPLET SUR LE blog BAZ’ART

France Culture (Rue des écoles)

Louise Tourret reçoit Aurélia Aurita et deux lycéens dans son émission pour parler du Lycée autogéré de Paris, le 16 avril 2014.

ÉCOUTER LA SÉQUENCE SUR LE SITE de FRANCE CULTURE

Site madmoiZelle

À l’occasion du Festival international de la bande dessinée d’Angoulême 2014, Fabrice Florent rencontra Aurélia Aurita pour le site madmoiZelle.com, le 24 avril 2016.

Voir la vidéo sur Youtube

Revue XXI

Dans la rubrique « Le dessin du lundi » de la revue XXI, Aurélia Aurita commente une esquisse prise « sur le vif » tirée de ses carnets de LAP !, le 26 mai 2014.

Rolling Stone

« Ici, pas question de virtuosité glacée à la Bilal, de délires psychotropes à la Druillet, ni de décors futuristes : le trait est simple, presque enfantin ; celui-là même qui avait fait le succès de Fraise et Chocolat, la BD ayant, il y a quelques années, révélé le talent d’Aurélia Aurita, ex de Fluide Glacial. »

Thomas Grimaud, Rolling Stone, mai 2014

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Voir Montréal

« Le lecteur a droit à une bande dessinée documentaire certes de facture classique, mais, dans lequel, justement, dans lequel l’implication progressive de l’auteure dans son récit apporte une dimension particulière, peut-être plus émotive, face à son sujet (et à ceux qui le peuplent). L’auteure se fait ainsi par moment l’avatar du lecteur qui, lui aussi, plonge dans ce récit comme observateur, pour être peu à peu séduit, intrigué, intéressé, curieux, voire impliqué face à ce qui s’y passe, face aux décisions qui y sont prises… Un document clair, donc. Précis. Direct. Qui marque le but, sans nécessairement, cela dit, en venir à marquer un coup de circuit (pour rester dans les métaphores sportives). »

Raymond Poirier, Voir Montréal, 12 août 2014

Lire l’article complet sur le site de Voir Montréal

La Croix

« Aurélia Aurita avait depuis longtemps envie de se plonger dans ce lieu un peu utopique mais bien réel, d’observer, de comprendre – qui sait ? -, et de rencontrer ceux qui y vivent et y travaillent. Avec l’accord de tous, elle y a passe une année entière. Et raconte le quotidien de ces ados parfois perturbateurs, plus souvent d’une étonnante maturité. De ces profs idéalistes, inventifs, passionnés. Un quotidien parfois difficile, car il y a des clans, des fortes têtes, des heurts, des discussions sans fin… Mais toujours intéressant, car à se parler sans cesse, on avance, on évolue, on progresse. Mêlant le reportage à l’autobiographie, passant, presque sans s’en apercevoir du statut d’observateur à celui d’acteur, elle se livre autant qu’elle livre un récit drôle, étonnant, et fort. »

Yaël Eckert, La Croix, 14-15 août 2014

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Culture Remains

« L’avantage avec ce genre d’ouvrage, c’est que le lecteur et l’auteur n’en savent pas plus l’un que l’autre. C’est ensemble, au fil des pages, dessinées ou lues, que chacun fait l’expérience de l’univers du LAP. […] Avec beaucoup d’humour et à travers un dessin fluide, Aurélia Aurita fait vivre cette expérience  au lecteur comme s’il la vivait lui-même, avec tendresse et réalisme. Comme une tranche de vie ! On attend les deux tomes suivants avec impatience. »

Alexis Seny, Culture Remains, 23 août 2014

Lire l’article complet sur le site de Culture Remains

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