La Libre
« C’est d’ailleurs une manière de jeu de piste dans lequel Rossano Rosi précipite le lecteur. En guise de loupe, la plume ludique de l’auteur laisse transparaître, au détour de chaque page ou presque, son plaisir à faire rouler les mots, les syllabes même, sous ses doigts. »
Marie Baudet, La Libre, 27 mai 2020
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Le Carnet et les Instants
« Un gourmet littéraire restera arrimé aux rails de la dégustation en goûtant page après page le travail sur la phrase, son rythme, le vocabulaire (cirons, miat, darse, etc.), les clins d’œil malicieux, les interpellations. In fine, Le pub d’Enfield Road projette dans l’essence de l’Art, qui doit déstabiliser et irriguer davantage qu’intriguer. »
Philippe Remy-Wilkin, Le Carnet et les Instants, 28 mai 2020
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Le Soir
« Et puis il y a cette écriture, très littéraire, ciselée, travaillée, truffée de références, de métaphores et d’ironie et que l’on goûte comme un bonbon acidulé. Avec félicité. »
Jean-Claude Vantroyen, Le Soir, 13 juin 2020
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Karoo
« L’écriture, distillée et équilibrée, représente le principal indice dans ce jeu de piste menant à l’élucidation du mystère de ce voyage aux portes des souvenirs. “Au commencement était le calembour. Et ainsi de suite”, en empruntant au maître de l’Absurde, Samuel Beckett, sa célèbre citation pour la placer en épigraphe, le Liégeois emmène d’emblée le lecteur dans son univers rocambolesque et ludique. »
Valentine Duminuco, Karoo, 22 juin 2020
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Diacritik
«Le dixième livre de Rossano Rosi, qui ressemble à son protagoniste Raymond Raymont comme Vladimir Nabokov se tenait à distance du sien, Humbert Humbert, est la preuve éclatante que cette avancée méticuleuse, prudente en même temps que téméraire, est capable de produire un texte qui dépasse le clivage de la poésie et du roman. »
Jan Baetens, Diacritik, 4 novembre 2020
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