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Libre comme Robinson

Petit traité de vie privée

Domaine(s) :
ISBN : 978-2-87449-680-6
Format : 14.5 x 21 cm
Pagination : 208 pages
Prix : 17€
Parution : mai 2019

Le monde est en train de changer radicalement. Nos mœurs, notre langue, notre espace, notre vécu, nos machines, subissent des transformations inouïes. L’effet le plus insidieux de ce grand bouleversement est la réduction croissante de la liberté individuelle. Il suffit d’ouvrir les yeux pour le constater, autour de nous, et même en nous.

Tout n’est pas joué pour autant. Une part de notre avenir et de notre destin dépend de nous. À condition de ne pas se payer de mots et d’agir là où nous avons une vraie marge de manœuvre : dans nos vies privées. Ce livre impertinent fait l’état des lieux et propose une série de solutions à la portée de chacun, tant en matière de logement, de famille, de relations amoureuses, de vie professionnelle et sociale, que de gestion de son temps, de son argent, de son réseau et de sa conscience.

Le souvenir de Robinson, aménageant son île pour résister aux périls qui l’entourent, fournit un modèle mythique à cette réinvention du quotidien.

Blog LIVRaisons

« Le dernier livre de Luc Dellisse donne à celui qui s’y immerge cette qualité-là de l’envahissement par la pensée, par l’esthétique et par la poésie d’une prose où chaque phrase vibre d’une clarté énigmatique autant qu’évidente. Nous avons été hypnotisé par le Petit traité de vie privée comme nous ne l’avions plus été depuis tant de rentrées littéraires. Il n’est pas une entrée de la centaine de courts chapitres qui constituent Libre comme Robinson qui ne nous ait effleuré de cette grâce singulière semblable à la démarche qu’adoptait Montaigne lorsqu’il s’observe non pour se comprendre, mais pour tendre à travers la sincérité qu’il s’inflige, un miroir intransigeant sur son prochain. Il y a aussi du Voltaire dans la démarche de Dellisse qui cite le philosophe de Lumières en exergue de son ouvrage : Je ne connais d’autre liberté que celle de ne dépendre de personne. »

Jean Jauniaux, Blog LIVRaisons, 22 mai 2019

Lire l’article complet sur le blog LIVRaisons

L’Écho

« Un projet mené avec talent, qui effleure parfois trop brièvement, explore souvent intelligemment, les thématiques brûlantes du monde chamboulé dans lequel nous vivons, et sur lequel nous avons si peu de prise. […] “Il faut pouvoir importer le monde dans son île, et s’en servir délibérément.” À appliquer sans modération… »

Aliénor Debrocq, L’Écho, 25 mai 2019

Lire l’article complet sur le site de L’Écho

Causeur.fr

« Comment échapper un tant soit peu au contrôle et à la dépossession, au collectivisme et à la massification, à ce “tout-commerce” que constitue la mondialisation ? Comment s’organiser pour ne pas être du voyage ? […] Comment trouver et protéger cette île déserte où Robinson parvient à être à la fois hors du monde et dans le monde ? […] À lire ces réflexions intempestives, je repère aussi chez Luc Dellisse un refus passionné de la dégradation de notre langue, entre autres par le biais de l’écriture inclusive ou de l’aplatissement journalistique. »

Christopher Gérard, Causeur.fr, 30 mai 2019

Lire l’article complet sur le site Causeur.fr

Service littéraire

« Ce petit traité de vie privée est un délice. Luc le bien nommé réinvente le quotidien et robinsonne dans la liberté individuelle. À lire le vendredi. »

François Ceresa, Service littéraire, juin 2019

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Bruxelles News

« Le roman de Daniel Defoë, avec son héros rescapé, sert de locomotive à cette démonstration qui a pour unique volonté de nous sortir de la léthargie et nous inviter à agir. Il suffit de bonne volonté pour placer quelques gouttes dans l’océan. »

Paul Huet, Bruxelles News, juin 2019

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BX1 – Le Cour(r)ier recommandé

Le lundi 3 juin 2019, Luc Dellisse répond aux questions de David Courier notamment sur l’importance des machines dans notre quotidien et la manière de rester libre aujourd’hui.

Voir l’émission sur le site de BX1

Entre les lignes

« Ce livre est un jalon que des philosophes pourraient raisonner et que des sociologues devraient enseigner. »

Jean-Pol Baras, Entre les lignes, 6 juin 2019

Lire l’article complet sur le site de Entre les lignes

Le Carnet et les Instants

« On peut être un moraliste sans pour autant jamais user de moraline. Il suffit pour cela de miser sur d’autres recours quand on délivre son message : la lucidité et le style. La première, Luc Dellisse l’a reçue en héritage de sa riche expérience d’une existence longtemps passée dans ce qu’il nomme “l’ancien monde“. Il épure le second, le dégraisse, pour ne livrer que le nerf de sa pensée. Le lire revient alors à affronter l’évidence : mais oui, c’est de cette parole-là que j’avais, que nous avions besoin, immédiatement. »

Frédéric Saenen, Le Carnet et les Instants, 13 juin 2019

Lire l’article complet sur le site du Carnet et les Instants

Librairtaire.fr

« Avec humour et érudition, Luc Dellisse déploie sa stratégie au fil de chapitres très courts, posant le diagnostic, proposant son ordonnance. Un petit bijou réellement subversif à découvrir. Vous y trouverez, à n’en pas doutez, quelques idées de recettes à cuisiner au service de votre vie privée et de votre liberté retrouvées. »

Philippe Rubempré, Librairtaire.fr, 15 juin 2019

Lire l’article complet sur le site Librairtaire.fr

RTBF – La 1ère (Jour Première)

Dans la rubrique « Tête d’affiche », le lundi 24 juin 2019, Luc Dellisse répond aux questions de François Heureux.

Écouter le podcast sur le site Auvio

Les belles lettres

« Grincheux, passez votre chemin ! Et je le dis fermement. Non que je cautionne tout ce qu’assène l’auteur. Mais. Tout ce qu’il dit, il le dit avec talent. Tout ce qu’il dit, il le dit pour l’avoir éprouvé dans sa chair. Tout ce qu’il dit interpelle, c’est-à-dire émeut, interroge, invite à l’approfondissement, au débat. Tout ce qu’il dit, il le dit pour partager un arsenal qui pourrait permettre de mieux encaisser la vie, ou de la construire. Des notions d’esthétique, d’éthique se faufilent. »

Philippe Remy-Wilkin, Les belles lettres, 27 juillet 2019

Lire l’article complet sur le site des belles lettres

 

La Revue générale

« Avec Libre comme Robinson, on quitte l’univers de la fiction. Sous-titré “Petit traité de vie privée”, l’ouvrage contient un ensemble de réflexions sur la liberté et la vie individuelle. Il ne s’agit pas d’un ouvrage savant. La liberté dont il parle n’est pas la liberté abstraite, philosophique ou politique, mais la li- berté pratique, celle “de penser, de parler, de circuler, d’écrire, d’aimer, d’exister, sans que personne ne se croie tenu de vous régenter”. En un mot, la liberté de mener sa vie de manière adulte et responsable en conformité avec ses valeurs, ses choix et ses préférences. »

Michel André, “Imagination écriture et liberté : trois livres de Luc Dellisse”, La Revue générale, hiver 2020

Lire l’article complet de la revue générale

Derniers événements du livre

08/06/2019
Place Saint-Sulpice à Paris
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