La Libre Belgique
« Son enseignement universitaire et ses travaux érudits n’ont pas détourné Jacques Dubois de la marche du temps. D’où l’intérêt de ses entretiens avec Laurent Demoulin, un de ses anciens étudiants aujourd’hui professeur à l’Université de Liège. »
Jacques Franck, La Libre Belgique, 5 février 2018
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RTBF – La 1ère (Jour Première)
François Heureux interroge en direct pendant 30 minutes Laurent Demoulin et Jacques Dubois, très complices sur les ondes de La 1ère, à propos de leur collaboration autour de Tout le reste est littérature, le 5 février 2018.
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« Centrée sur une riche carrière universitaire, tissée de voyages et de rencontres au sommet, la suite d’entretiens rassemblés sous un titre symbolique, Tout le reste est littérature, dévoile un homme lucide, conscient de ses héritages familiaux, un acteur politique engagé dans les luttes de son temps et un chercheur curieux de tout, qui juge nécessaire de “changer régulièrement de crèmerie”. »
Michel Grodent, Le Soir, 10-11 février 2018
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RTBF – Musiq3 (Carrefour des arts)
Le 22 février 2018, Laurent Demoulin est invité par Fabrice Kada pour parler avec beaucoup d’émotion de son livre d’entretien avec Jacques Dubois, ancien professeur qu’il a toujours adoré écouter parler de littérature.
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Blog L’alfarrabiste et la libellule (Le Monde)
« À 85 ans, Jacques Dubois, avec une solide carrière académique, une reconnaissance internationale et de belles références en matière d’engagement dans la vie culturelle et le débat politique n’a plus trop de peine à vaincre ce tabou du récit autobiographique. Il le fait avec beaucoup d’humour et de gentille malice à l’égard de ses collègues, de ses proches et même de sa famille. Du coup, pour ceux qui connaissent le petit monde intellectuel de ce qui s’appelle aujourd’hui Fédération Wallonie-Bruxelles, et les domaines d’activités plus universels qui ont passionné notre homme, la littérature, la sociologie, la linguistique et la rhétorique, mais aussi le cinéma, le théâtre, le journalisme et les autres formes de débat idéologique, Tout le reste est littérature sera une lecture délicieuse. »
André Lange-Médart, Blog L’alfarrabiste et la libellule (Le Monde), 20 mars 2018
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RTBF – Musiq3 (À portée de mots)
Le 15 avril 2018, invité par Axelle Thiry dans son émission « À portée de mots », qui met en avant le dialogue entre la musique et les lettres, pour parler de son roman Robinson, Laurent Demoulin fait mention de son livre d’entretien avec Jacques Dubois Tout le reste est littérature en fin d’interview (à partir de 1h52).
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Le Carnet et les Instants
« Cet ouvrage se lit donc avec plaisir, car on y (re)découvre, au delà d’une amusante connivence entre les interlocuteurs, une expérience volontaire de la curiosité, de la découverte novatrice, et du sens social, qui ont été l’une des clefs de l’existence de Dubois – ce qu’on ne peut que souhaiter à chacun. On peut également y lire le portrait d’un jeune intellectuel aimant dispenser avec charisme et ironie son savoir, s’éprenant tour à tour de quelques grands maîtres de son époque, Lucien Goldmann, Léo Spitzer, Roland Barthes… et plus tard bien sûr Pierre Bourdieu, dont il dessine un portrait tout en finesse, resituant sa pensée et son histoire personnelle dans les polémiques qui l’entourèrent. Car au fond, on en revient toujours aux origines. Et les pages qui sont consacrées au milieu familial et social, aux lectures, au militantisme communiste, aux matchs de football, avant l’entrée dans les études universitaires, sont de celles qu’on n’oubliera pas non plus. »
Pierre Malherbe, Le Carnet et les Instants, 3 mai 2018
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Encres Vagabondes
« Un livre qui retrace la carrière engagée, bien remplie de Jacques Dubois et l’aventure de la critique littéraire de la seconde moitié du XXe siècle. »
Michel Lansade, Encres Vagabondes, 11 mai 2018
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Bruxelles Culture
« Au fil des chapitres, on apprend tout (du moins ce qu’il accepte de confier !) sur sa jeunesse, ses études, son milieu familial, ses ambitions et ses questionnements. Il pose également un regard sur les épreuves qui ont bouleversé la Belgique ou l’Europe : la Question royale, mai 68, l’avenir de la Wallonie. Il relate son mariage, ses débuts dans l’enseignement, ses voyages, ses collaborations diverses à plusieurs revues, son entrée en littérature, la réaction du public et de la presse à propos de ses ouvrages publiés, son héritage symbolique et, surtout, une poignée d’écrivains qu’il admire et dont il ne répètera jamais assez l’énorme talent. Pour lui, la littérature reste un viatique et une raison d’exister face aux vicissitudes qui, implacablement, encombrent le tracé d’une vie. Cette passion l’a toujours secondé dans les instants difficiles, l’a poussé à se surpasser et à se remettre instantanément sur le grill. Un livre n’est pas seulement un partage de savoir ou une démonstration esthétique, mais un échange entre personnes qui s’activent pour communiquer. »
Paul Huet, Bruxelles Culture, 15 mai 2018
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