Le Carnet et les Instants
« Quel mérite alors, bien qu’il sache et proclame que “le corps est un objet insaisissable” de l’avoir si bien appréhendé ! À lui qui s’était jusqu’alors, à peu d’exceptions près, surtout adonné à la fiction, revient le mérite d’avoir, selon ses mots, donné “du corps au texte”, sinon l’inverse. À chacun sa formule ! Les dernières pages témoignent à vif de la difficulté de rédiger un tel récit où se révéler sans tomber dans la confession ou l’exhibitionnisme relève de l’exploit ; un texte où l’art seul peut cautionner la parole intime. »
Jeannine Paque, Le Carnet et les Instants, février-mars 2013
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La Libre Belgique
« L’esprit peut mentir, tromper, feindre. Pas le corps. Il ne peut dire que la vérité, la nue, la crue, la terrible vérité. Le 28 février 1935, Julien Green notait dans son Journal : “Cette nuit, je me suis demandé pourquoi je ne ferais pas le portrait de mes personnages nus. D’ordinaire les personnages de roman se réduisent à des bustes. Cependant le corps dit la vérité tout autant que le visage.” Stéphane Lambert, romancier et essayiste, a entrepris une tâche plus délicate et plus ambitieuse : mettre son propre corps à nu. […] Au terme de ce parcours narré d’une plume à la fois hardie et retenue, Stéphane Lambert aura embrassé d’un regard rétrospectif la formation d’un homme à travers les extases et les dégoûts de son corps. “Il y a toujours un peu de testicule au fonds de nos sentiments”, disait Diderot. »
Jacques Franck, La Libre Belgique, 11 février 2013
Lire l’article complet sur le site de La Libre Belgique
Bruxelles News
« Stéphane Lambert se raconte sans forcer le trait, avec pudeur et pourtant sans rien cacher de ses expériences en l’occurrence homosexuelles. De l’enfance à l’âge adulte, il revient sur son parcours, avec ses doutes, ses inhibitions, ses initiations. […] Les termes choisis sont ici volontairement crus, écrits dans un style classique et d’une précision quasi-médicale qui rend toute érotisation impossible. On se situe à des lieues d’un récit racoleur et vide de sens. Chaque relation est vue par le biais de la raison et de l’intellect. »
Anny Dimelow, Bruxelles News, 27 février 2013
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L’Humanité supplément
« Dans un récit au titre emprunté à la foi à Baudelaire et à René Crevel, Stéphane Lambert, jeune écrivain belge, auteur d’une quinzaine d’ouvrages, revient sur l’histoire de sa sexualité. […] C’est l’histoire de son corps qu’il trace ici. Un corps malmené, parfois, malade, parfois désirant, parfois totalement heureux, séduisant et épanoui. […] La dernière page [est] très fine, très profonde, que Stéphane Lambert consacre à son entreprise autobiographique, “détour nécessaire pour rejoindre l’existence dont on vit écarté”. »
René de Ceccatty, L’Humanité supplément, 7 mars 2013
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RTBF – Musiq3 (Le point du jour)
Stéphane Lambert est l’invité de Pascal Goffaux pour parler de sa dernière parution, le 7 mars 2013.
RTBF – La Première (Le grand Mag)
Caroline Veyt et Laurent Dehossay parlent avec précision de Mon corps mis à nu en compagnie de l’auteur, le 28 mars 2013.
Le Soir
« Sa mise à nu. Cruelle mise en relief de bribes éparses de souvenirs rassemblées comme dans un puzzle. Épuisante et fascinante, comme l’écriture. Stéphane Lambert a du courage, oui. Et du talent. »
Jean-Claude Vantroyen, Le Soir, 6-7 avril 2013
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France Culture (Un autre jour est possible)
Tewfik Hakem interroge Stéphane Lambert à propos de son livre, le 8 mai 2013.
Écouter la séquence sur le site de France Culture
RTBF – Pure FM (Bang Bang)
Stéphane Lambert était l’invité de Xavier Ess et son équipe pour parler de son récit intimiste (49’30” ), le 24 mai 2013.
RTBF – La Première (Matin première)
Nicole Debarre présente son coup de coeur pour ce livre qui l’aura marquée, le 24 mai 2013.
Lire la chronique sur le site de la RTBF
Têtu
Pour le mois de janvier 2016, Mon corps mis à nu est le coup de cœur d’Ariane et Dominique de la librairie bruxelloise TULITU.
Lire l’article sur le site de Têtu