La Libre Belgique
« “L’Asturienne”: une saga familiale et industrielle contée avec tendresse, précision et lucidité. »
Francis Matthys, La Libre Belgique, 1 septembre 2021
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Libération
« Caroline Lamarche n’est pas une descendante rangée et prend peu à peu ses distances avec l’épopée officielle. Et c’est dans l’évolution de ce regard que réside l’un des intérêts du livre. »
Frédérique Fanchette, Libération, 2 septembre 2021
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Babelio
« Une écrivaine talentueuse, dont les mots nous transportent non seulement dans le passé, mais également au coeur de l’âme humaine. »
Papou64, Babelio, 9 juillet 2021
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Babelio
« Porté par la magnifique plume pleine d’esprit de l’auteur, ce récit soigneusement documenté, qui sait honnêtement faire la part des choses entre réalité et mémoire familiale, est à la fois un témoignage intéressant sur l’histoire industrielle des deux derniers siècles en Europe, un aveu sincère et sensible du poids de l’héritage et de la filiation chez une femme « déchue » du milieu social de ses ascendants, et un superbe hommage d’une fille à son père. »
Cannetille, Babelio, 4 juillet 2021
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Le Soir
« Tout ce qui inscrit une saga familiale dans l’histoire industrielle, sociale et politique se trouve réuni dans un récit fluide et pourtant marqué par de terribles secousses. »
Pierre Maury, Le Soir, 25 septembre 2021
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RTBF – Musiq3
« Une quête mémorielle qui aura nécessité la passion des “vieux papiers”, de la patience, un amour pour l’écriture et une grande implication personnelle. »
Tania Markovic et Pascale Seys, Musiq3, 24 septembre 2021
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Le Quinzième Jour
« Dans le style élégant qu’on lui connaît, l’auteure reconstitue peu à peu une passionnante saga familiale. »
Claudine Simart, Le Quinzième Jour, Septembre – Décembre 2021
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Le Soir
« L’Asturienne est un passionnant voyage avec des ancêtres qui ont tissé des légendes. Nos légendes.»
Béatrice Delvaux, Le Soir, 23 Octobre 2021
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Le Cour(r)ier recommandé
Caroline Lamarche était l’invitée de David Courier sur le plateau de l’émission “Le Cour(r)ier recommandé”, le vendredi 22 octobre 2021 sur BX1.
David Courier, BX1, 22 Octobre 2021
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La Nueva España
« El resultado de todo ello es “L’Asturienne” (La Asturiana), un volumen que acaba de editarse por Impressions Nouvelles, de Bruselas, y que ha tenido una acogida extraordinariamente positiva en Bélgica y en Francia. En él Lamarche aborda con sensibilidad, humor y espíritu crítico el lado humano y terrenal de aquellos rutilantes empresarios que durante más de un siglo convirtieron a la RCA en una de las grandes empresas industriales de España, Francia y Bélgica. »
Mario Bango, La Nueva España, 7 novembre2021
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Le Monde des Livres
« Tant pis si l’image peut paraître un peu facile: Caroline Lamarche remonte jusqu’à la mine familiale pour y descendre à son tour, afin d’en extraire un très précieux minerai. […] C’est la première fois que l’autrice […] s’aventure dans ce qu’il est convenu d’appeler la “non-fiction”. Et ce livre, tramant au plus serré l’intime et l’histoire, sinon le politique, marque de fait un tournant dans son travail. »
Bertrand Leclair, Le Monde des livres, 13 novembre2021
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CathoBel
« Habituée de la fiction, Caroline Lamarche publie cet automne un récit, qui renoue avec ses origines liégeoises. L’Asturienne se penche sur le parcours de la société familiale naguère pionnière en métallurgie du zinc. L’occasion pour l’auteure de révéler des aspects intimes de ses ancêtres et de son enfance. »
Angélique Tasiaux, Catho Bel, 14 novembre2021
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Diacritik
« Nous connaissons l’autrice douée qu’est Caroline Lamarche […]. Et nous aimons le style sensible qui est le sien. Mais, derrière ce style, il est une autre écriture reçue d’un père aimé et d’une autre tonalité. »
Jacques Dubois, Diacritik, 17 novembre2021
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El País
« En un mundo que idolatra lo nuevo y mira lo viejo con conmiseración, maravilla que se haya podido conservar casi intacta, desde 1833, la huella de la actividad ininterrumpida de una empresa y su continuadora. »
Lola Galán, El País, 14 décembre 2021
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L’Appel
« Ce livre d’enquête mêle, à l’histoire de cette compagnie minière, des souvenirs personnels et familiaux. Son père, ingénieur, en a été un des derniers dirigeants et d’autres membres de sa famille y ont tenu un rôle majeur. »
Gérald Hayois, L’Appel, février 2022
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Karoo
« Quand la dernière « larme de la mine » est coulée, que reste-t-il ? Dans une langue forgée par l’œuvre fictionnelle singulière que nous lui connaissons, Caroline Lamarche empêche, à travers ce récit documentaire minutieux et complexe, l’oxydation et l’oubli d’un passé industriel souvent appelé « glorieux » mais dont les conséquences sociales liment encore notre société. »
David Lombard, Karoo, 3 mai 2022
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En attendant Nadeau
«Pour les lecteurs de Caroline Lamarche, “L’Asturienne” est une surprise : une somme tombée du ciel au milieu des formats courts chers à l’autrice. Un récit historique, familial, garni de référence… voilà qui peut effrayer quand on admire la transparence de son style, le soin psychologique de la mise en scène de ses personnages et la sensibilité poétique de ses descriptions. Autant de qualité que l’on retrouve dans “La fin des abeille”, où l’autrice traite, encore, du devenir familial mais cette fois par le biais du deuil, celui de sa mère, en pleine pandémie, et avec les distances que cela suppose.”
Thibault Scohier, En attendnat Nadeau, 1 août 2022
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Voyages, au fil des pages
“Servi par une belle écriture fluide et illustré de photos et documents d’archives, c’est aussi le témoignage d’une femme aux prises avec le poids de la filiation et de son milieu social auquel elle avait cherché à échapper, et un magnifique hommage à son père adoré.”
Sylvie, Voyage au fil des pages, novembre 2022
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