La Libre Belgique
« Livre de référence sur le roman-photo qui est “à la fois le plus méprisé et le moins connu” des genres littéraires. »
Francis Matthys, La Libre Belgique, 6 novembre 2017
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« Une belle rencontre. Sa passion pour le genre, son sens critique et son ouverture d’esprit ont été un réel soutien. Jan Baetens analyse les romans-photos, propose une grille de lecture qui dépasse l’aspect formel du genre en indiquant une multitude de perspectives. De passage à Paris, nous avons réussi à trouver un moment pour nous retrouver autour d’un café à quelques pas de son hôtel, rive gauche, chez Maison Marie. Nous avons discuté de la diversité des romans-photos, de la reconnaissance tardive de la Bande-dessinée, de la part d’artifice dans la création – et de bien d’autres choses encore. Rencontre avec Jan Baetens, un passionné des romans-photos qui nous invite à voir plus loin que les images. »
Lia Rochas-Pàris, Le Café Matinal, 29 novembre 2017
Lire l’entretien complet sur le site du Café Matinal
Dans le magazine M, mensuel édité par Le Monde, un long article de Roxana Azimi sur l’exposition « Roman-photo » au Mucem, paru le 2 décembre 2017, reprend les propos de Jan Baetens et quelques illustrations tirés du livre Pour le roman-photo.
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Dans son émission « Carrefour des arts », Fabrice Kada invite Jan Baetens, spécialiste de cet art méconnu, à l’occasion de la réédition de Pour le roman-photo aux Impressions Nouvelles et de l’ouverture de l’exposition « Roman-photo » au Mucem à Marseille, le 14 décembre 2017.
Écouter la rencontre sur le site de la RTBF
« Si les récits ne valent pas souvent mieux qu’un livre de la collection “Harlequin” et manquent souvent d’originalité, il existe une autre manière de s’approprier ce format. Celle d’analyser le rapport qui se lie étroitement entre le texte et la photographique, le découpage des séquences, l’expressivité ou non des comédiens engagés pour prendre la pose. Au point de parfois se dire que le roman-photo a ou aurait été l’expression de la synthèse entre le cinéma, la bédé et le roman. Cet essai nous invite surtout à jeter nos œillères et à regarder autrement ces magazines qui ont enchanté nos mères et nos grands-mères. »
Daniel Bastié, Bruxelles Culture, 15 décembre 2017
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Le 2 janvier 2018, pour commencer l’année en beauté, Tewfik Hakem s’entretient avec Jan Baetens qui retrace l’histoire d’un genre littéraire hybride et méconnu : le roman-photo.
Écouter le podcast de l’interview sur le site de France Culture
« Professeur à l’université de Leuven, Jan Baetens, revenant sur la mauvaise réputation de ce genre hybride, tente d’en réhabiliter la richesse et la polysémie, du roman-photo sentimental aux inventions modernes de Marie-Françoise Plissart, Chris Marker (La Jetée, 1962), Alain Robbe-Grillet, Michael Snow, Sophie Calle (Suite vénitienne, 1981) ou Suky Best (Photo Love, 1995-1997). »
Fabien Ribery, Le blog de Fabien Ribery, 17 janvier 2018
Lire l’article complet sur le blog de Fabien Ribery
Pour chroniquer la réédition de l’essai de Jan Baetens, l’auteur de BD Benoît Vidal se prête lui-même à l’exercice du roman-photo en mettant en scène un entretien avec un certain Pierre Romanfo, le 28 janvier 2018.
Afficher le roman-photo sur le site Les histoires de Joséphine
Le Soir
« Où va le roman-photo ? Vers la littérature, les arts visuels, le journalisme, ailleurs encore ? Jan Baetens l’ignore. Mais il est persuadé que le roman-photo a un avenir. Son livre le montre avec passion. »
Jean-Claude Vantroyen, Le Soir, 17/18 février 2018
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Brain Magazine
« Si le roman-photo ne s’est jamais aventuré dans la critique radicale, il a, l’air de rien, contribué à la remise en cause du mariage bourgeois de par le ressort de sa trame narrative lambda : l’amour prévaut sur les conventions sociales. Mieux, selon Jan Baetens, auteur d’un passionnant Pour le roman-photo, il a, en mettant sur un pied d’égalité hommes et femmes au sein du couple, contribué à sa manière à l’émancipation de la gent féminine. Il faut dire que dans la société italienne de l’immédiate après-guerre, les femmes partaient de très loin. »
Diane Lisarelli, Brain Magazine, 18 avril 2018
Lire l’article complet sur le site de Brain
ActuaBD
« Le revirement est net et à la hauteur du désamour que le roman-photo a connu pendant plusieurs décennies. Comme le souligne Jan Baetens en introduction de Pour le roman-photo, ce mode d’expression a souffert pendant longtemps de lourds préjugés : “sorte de bande dessinée […] à l’eau de rose”, son lectorat aurait été essentiellement féminin – ce qui dans une société encore marquée par le sexisme relevait du dénigrement – et l’existence de quelques parodies n’aurait pas suffi à le sortir de sa gangue. Ce manque de reconnaissance allait de pair avec une réelle méconnaissance et entraînait le mépris voire l’hostilité. Ce qui semble être de moins en moins le cas. »
Frédéric Hojlo, ActuaBD, 9 août 2018
Lire l’article complet sur le site de ActuaBD
Littera
« Ces considérations, à la fois savantes et jubilatoires, d’un sémioticien des cultures visuelles, concernent directement les questions qu’abordent nombre de littéraires, notamment ceux qu’intéresse la notion de narrativité, dont on sait que le roman n’a nullement le monopole. Elles offrent aussi de nombreuses perspectives aux chercheurs qui travaillent sur les transferts médiatiques mettant en jeu un texte et une image, ou plus largement sur les notions de séquence et de série. L’oeuvre de Jan Baetens, écrite majoritairement en français, est accessible aussi en anglais, en néerlandais, en espagnol, entre autres. On espère qu’elle le sera bientôt aussi en japonais. »
Marianne Simon-Oikawa, Littera, mars 2020
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